10 octobre 2005
Que jamais ses mains ne se lassent...
Pourvu que jamais ses mains ne se lassent
Des ballades sur les courbes et déliées
De la hanche à l'épaule elles passent
Sur la fleur de ma peau irisée
Pourvu que jamais ses mains ne se lassent
De trouver un abri au creux de ma pluie
Sous un ciel à une étoile sont leur place
Deux pleines lunes présents des nuits.
Pourvu que jamais ses mains ne se lassent
D'être ce nid ou éclorent mes trésors
Sous leur chaleur je trépasse
En avant pour ma petite mort.
Pourvu que jamais ses mains ne se lassent
D'être ma prière païenne pour renaître
Et si jamais ses mains se lassent
Mon corps en croirait disparaître...
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