5 octobre 2005
Un...
Que rien ne m'atteigne des souffrances dépassées
Qu'aucune réminiscence ne vienne me hanter
Il me ouate de son amour pour me protéger
Mon regard enfin détourné du passé
Au présent trouve son encre et son papier
L'avenir n'est plus une obscure pensée
N'est plus un trou noir mais un ciel étoilé
Envoleur de grands chemins des lucioles éclairées.
Je ne laisserai rien assombrir nos fronts
Je déposerai la légèreté sur ses rides
Je savourerai chaque bouchée de son nom
J'accepterai enfin d'être candide
De chaque seconde je ferais un pont
je joindrais les rives par dessus le temps vide
A ces abords je basculerais pour de bon
Dans nos éclats de rire nous deviendrons splendides.
Publicité
Commentaires
J
L
L
O
S